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  • : Le blog de vecu
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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 00:01

             

Enfin un p’tit, quelque chose qui me met sur la même longueur d’ondes avec Hakim LALAM .  La représentation diplomatique de l’Algérie en Arabie Saoudite,  par un bourreau à la houe traînant une barbiche à la mode ‘’ Bouc castré ‘’,  mérite pour son acte criminel de souiller  à l’étranger l’image DE MARQUE d’une Algérie martyre , de répondre  de son acte et de donner des explications . Mais à qui … Moi , je ne sais pas à qui ? . Peut être à Belkhadem ? Oh non, lui aussi, il a une barbe à papa tout blanche . Et puis sans trop se casser les méninges – Disons il y’a là un esprit de clocher … Et puis ce barbu que je méprise trop, va changer de crémerie tôt ou tard. Revenons à Hakim LALAM  et sa niche bleue (Rubrique ‘’ Pousse avec eux ‘’ ) . Lorsque j’ai dis que cet individu posséde vraiment un esprit égrillard et sa chronique se déprécie  déjà et je la vois, elle croule. Tout le personnel du journal le soir d’Algérie , se sont acharnés contre moi, ça je le sais .Pourtant il y’a sûrement d’autres qui se sont raillés à ma petite cause sans l’afficher publiquement et peut être, ils se sont posés cette question : Pourquoi ce Monsieur s’apparente au jeu du cadavre exquis, en y envoyant chaque soir et en exclusivité une petite missive souvent adorable à Hakim LALAM . Eh bien, j’avoue que je trouve chacun de ses articles presque émétique . Le contenu bien sûr ... En plus non seulement l’enflure du style pose un grand problème de compréhension , étant donne que chaque sujet révèle que  Hakim LALAM reste toujours encroûté que dans ses idées noires et n’accepte en aucun cas  le point de vue des autres , ajouté à cela qu’il essaye toujours d’échelonner ses idées noires , en y exhibant sur sa niche bleue des textes révoltants , en y fulminant autant de reproches à autrui avec des paroles graveleuses – Disons , juste en y happant quelque chose , il attache le grelot sans au préalable analyser la source ni sa crédibilité . Là , il attaque , en y étalant des raisonnements mitigés de critiques et puis sa manière de conduire son raisonnement avec un style dépouillé , laisse supposer que le Doberman est presque impolitique et ne sait rien discerner . L’essentiel pour lui reste qu’il s’ingénie à plaire en gribouillant autant de phrases excentriques – Disons sa chronique est informe et ne peut en aucun cas être qualifiée ni d’espace d’information ni d’une chronique satirique, d’ailleurs sa satire est tirée de la pure fumisterie, susceptible de faire révolter un loir déjà dans les bras de Morphée. Mais, il est utile de noter que le Doberman risque un jour une colique de plomb par saturnisme en y faisant écharper autant de gens sans aucune raison ni but précis. Ah ! S’il s’agit vraiment d’un amour pour l’Algérie, alors il n’est pas nécessaire d’attendre aussi longtemps l’engraissement d’un Felous qui, un jour n’est nullement suffisant pour lui faire un dîner.

 

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 00:01

Il

   

Il est bien dit : L’un des atouts du  journaliste est sans aucun doute de pouvoir franchir aisément certaines portes que beaucoup d’autres et pas du tout journalistes se contentent de les regarder fermées toute leur vie ‘’  A première réflexion, chaque lecteur ne pourra pas dire le contraire.  « Pour le travail », oui, mais quand même… il y a de grands moments où le journaliste peut influencer le lectorat par le moindre détail qu’il fait publier ! Je me souviens notamment  de l’article ‘’ « Le visage enduit d’urine ». Un texte  grossier dont le sens  pratiquement résultant d’une moralité Arabe, interprétée en Français pour ne rien insinuer sinon une sorte d’esquisse à bord duquel il veut faire rigoler ses borgnes – Disons les faire obnubiler par le superflu puisqu’ils ne voient que d’un seul côté. Tout çà évidemment sans information sérieuse. C’est ce qu’on appelle une « invitation de presse hilarante ». Tout juste comme s’il déroule le tapis rouge à ses BB dans un récit où la pisse coule à flots ! L’auteur ou le radoteur malotru sait  ce qu’il fait.  Plus il en met plein la vue de ses Borgnes. Plus il est sûr  d’obtenir de bons échos dans sa rubrique de merde. Même si la chronique en Algérie avance et se situe dans un rang plus au moins intéressant, je peux dire que j’apprécie chaque instant passé à bourlinguer dans ses espaces spécieux, et même temps à déambuler dans les interminables phrases à la con, frappées  au sceau de ses nombreux chroniqueurs Algériens. Minables. J’ai aussi aimé savourer les mots raffinés servis jadis dans le luxueux espace culturel de Saïd Mokbel où la littérature à l’ambiance feutrée valse au rythme de ses idées fructueuses et instructives. Même si ce chroniqueur  rebelle et sensé connaître son engagement ne pouvait insulter l’Algérie. Sa rubrique plus au moins ouverte nous offrait une sorte de croisière virtuelle à travers une nuée de phrases bien rangées à nous informer de ce qui se passe réellement dans notre pays  - encore que je ne m’en souvienne pas – oui, j’avoue avoir trouvé plutôt sympathique de jouer le lecteur assidu le temps de quelques minutes. Dans ces moments là, on a un peu l’impression d’être un cocher à bord de sa calèche tout prêt à me promener dans le grand jardin Algérien et connaître toutes les herbes, mauvaises ou bonnes. Donc, l’itinéraire tracé par Mokbel une fois franchi. On comprend que ce même bonhomme ne triche pas. Hélas ! Sauf que cette fois, le rêve après son départ se poursuit par des itinéraires à accès difficile et moins praticables. Il y’a autant de graviers et de pierres si grosses. Mais, aujourd’hui j’estime qu’il n’est pas toujours nécessaire de courir  dans des espaces graveleux de ces chroniqueurs à la con. Quelquefois, laisser vagabonder son esprit suffit ! … Que d’intrigues, que d’histoires à ne dormir debout sans ne jamais être fasciné ni pour s’inspirer de quoi que ce soit.  Des anecdotes du terroir arabe, se font interpréter en Français pour ne donner aucune moralité. Donc, des anecdotes comme celle-ci, grossière dans le grand sens de la vulgarité je pourrais vous en raconter à la pelle. Des plus drôles, des moins amusantes, des caustiques… Là, j’avoue que le métier de journaliste  c’est presque l’assurance de vivre chaque journée qui commence comme une vie nouvelle, pleine d’événements imprévus. Holà !  Çà n’a pas que de bons côtés. Il y a des jours où la routine serait une amie que l’on accueillerait volontiers à bras ouverts pour ne réciter que des balivernes faute d’événements. Mais, jamais pour très longtemps ! Je vous l’avoue : Hakim ou Chawki sans prendre en compte Si Hammouche (puisqu ‘il ne dit rien)   La chronique, non merci ! J’ai la nausée, je suis en train de suivre à la lettre chaque mot placé dans ces chroniques à la con. …

 

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 00:01

Ce

       

Ce n’est  pas la première fois que je cours derrière LaLam. En fait, j’avais participé a chacun de ses articles ; sans exception, pour lui glisser une réponse en temps réel. C’est en quelque sorte un rituel qui me semblait complètement plein de saveur, rapide  et répétitif, pour garantir mon devoir de contrecarrer ses nombreux méfaits. Mais je sais qu’au fond, dés l’instant où il commence à écrire, je suis appelé à la tenue et au sérieux  qui convenaient à la circonstance pour donner mon point de vue à ses idées sataniques. Oui, je sais aussi qu’il est stipendié à la solde de Boughanem qui lui en demande trop. Donc, Hakim condamné à cette besogne ingrate, prépare son matériel (stylo et feuille blanche), s’assure de l’idée  de chacun de ces articles, chacun des sujets mis en cause, contrôle les mots qu’il doit ranger et verifie  le niveau de charge à connerie de son cortex où il emmagasine que les gros pour faire gros encore dans son espace à mots gros. Ses gestes sont calmes mais imprécis ; il ponctue ses minutieux préparatifs de regards réguliers vers le ciel puisqu’il commence le soir  à travailler son billet de demain. Par ailleurs, Ce n’était pas aussi  la première fois que je le regarde dans sa rubrique. En fait, j’ai participé activement au jeu du cadavre exquis pour lui envoyer des missives. Et je sais exactement ce qu’il veut. Hélas ! Je ne comprends pas les fondements de ce choix dans sa vie de journaliste à dépiauter les gens sans regret aucun – Dépiauter les gens : ___ Cela me semble parfaitement préparé dans sa tête, ses pas sont pressés mais il ne marquait pas la moindre hésitation à flinguer même son propre père au Nom des billets de 1000.00 Da . Je sais pourtant qu’au fond, ce n’est point le hasard qui le guide mais l’odeur des pepettes pour en remplir sa tirelire. . Là, je ne peux  pas vraiment rester discret.  Chaque matin de la semaine, comme s’il m’emmène avec conviction vers ce qui est  devenu ma pire chambre de torture – C’est sa niche bleue (rubrique ‘’ Pousse avec eux ‘’) je me débats de toutes mes forces, comme si, pour ce jour là encore, subsistait un espoir que je puisse m’y soustraire à ces conneries. Je frappais de toutes mes forces contre la table de mon micro  –  A ce pessimisme continue et qui me torture comme si je suis dans une prison. Nœud au ventre, mal de crâne à rompre les tympans, suggestions spontanées à fasciner le plus fou. Parfois, soudain, , j’imagine sa photo où il affiche en béret avec un visage bouffi et joufflu et qui s’imprime violemment sur ma rétine . Je sais de moins en moins rester discret. Je ralentis le temps à la mesure de mes insuffisances, m’insinuant dans chacune de ses failles, cherchant désespéramment de l’espace, de l’oxygène. Assis à son bureau, je projette  mon agonie sur chacun de ses articles dont la maîtrise me donnait souvent et  selon ses écrits  un peu plus de vigueur pour dire ce que je ressens vraiment : Ressentir quoi ? Que le dégoût de le qualifier de chroniqueur trompeur. Je me fais discret. Je me tiens à petite distance pour ne pas respecter son espace de travail. Je suis en conflit avec Lalam.Je ne peux pas rester muet. Je hurle  par tous les moyens à ma portée. Tous les malaises, toutes les phobies. Claustrophobie auditive, vous connaissiez ? Quand chaque mot entendu, est semblable à une vie impropre. Un mot très appauvri pour en détruire les dernières belles phrases d’une chronique sérieuse  …  Alors que la rubrique ‘’ Pousse avec eux ‘’ occupe autant d’espace inutile à l’information sérieuse. Donc, c’est là , exactement à cet endroit si sale  fallait bien aller fumer. Du thé périmé pour rester éveiller à ne compter que les étoiles. Et c’est ainsi que, pendant presque trois années que je le suis, sans marquer le moindre signe d’impatience – je n’ai pas le choix. … Moi, passer des minutes et des minutes ç lire et relire ces articles,  ça me parait parfaitement improductif.  Moi, il faudrait bien que je me contente de la place « entre parenthèse ». C’est ainsi, que l’histoire se finit. Mes hurlements ont fini par créer une brèche dans sa niche. Il n’a pas pu m’en empêcher plus longtemps :. Et  j’écris contre lui. J’entends ses vagues et lointaines protestations, je le sens lutter vainement pour rétablir l’autorité de la peur des conséquences.

 

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 00:01

  

           

 Bien vu ! Il me semble que Hakim se sent déjà impuissant dans son job de faiseur d’embarras ou plutôt impuissant à innover plus de Khourti. Et qui sait encore, peut être il l’est même dans son propre lit. Moi, je n’ai aucun doute quand ma supposition, étant donné qu’il veille chaque nuit – Et puis les longues veilles altèrent la santé mais le thé fait mollir le cordage ! Hé, ça c’est un proverbe Tergui qui nous déconseille de trop regarder les étoiles une théière à la main, car si on abuse trop dans une position accroupie. Ah ! Entre les jambes,  les démangeaisons risquent d’être lourdes à supporter et ce, par suite de perdre toutes complicités. Hakim ; en fumant du thé et  les yeux fixés sur des magazines …A compulser.  Là, je le vois déjà las de subir tant de corvées à ramasser ça et là des mots que tous les balayeurs réunis de la Maison de la Presse   ne pourront y amassés .Peu importe ;  Hakim fort, de sa main si subtile et assez large pour y contenir toutes ses cochonnailles sera capable à la fois de tenir tant d’excréments et de l’utiliser entre les jambes. Pauvre Hakim ! Prions et prions pour la délivrance. Ah ! Je reviens. Hahim se croit l’épigone de Saïd MOKBAL. Moi, j’insiste pour dire qu’il n’est autre qu’un petit ‘’ MEDDAH’’ qui ne récite que des racontars fades  à nous fait dormir debout – Ah ! Son génie et son éloquence pour créer autant de commérages auraient mieux servi à donner plus de notoriété à Cheikha RIMITI ou BELKHAYATI – Des chants et des chants ! Dommage de voir un potentiel aussi grossier se dissiper sans au préalable laisser une empreinte dans l’art du Khourti.. 

 

 

 

 

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:02

Qui va accoucher ? Personnellement je trouve beaucoup de difficultés à suivre vos idées si mal enchaînées . Une fois vous défendez une employée d’une crèche pour sa reconversion religieuse , tout en criant sur les toits de l’Algérie qu’elle est persécutée . ça s’appelle vouloir se distinguer anti ségrégationniste hypocrite . Et votre tolérance est sans égale . Une autre fois vous critiquez les barbus pour ensuite vous vous souciez des tangos égarés persécutés eux aussi et méritent à leur juste valeur d’assassins d’être jugés et relâchés . Maintenant et cette fois ci , vous étonnez de voir Boutef à côté de Mert . C'est inadmissible vos réactions si étroites et contradictoires . Je me pose la question ‘’ Est-ce que vous relisez ce que vous avez déjà écris ? ‘’ Etés vous démocrates ou simple semblant démocrate mais hypocrite . Vos réflexions alambiquées font égarer tout de même le plus lettré qui ne peut comprendre votre attitude de '' écrire tout sans réfléchir '' Donc , si vous trouvez que Habiba peut être Algérienne sans être persécutée et libre à se noyer entièrement dans sa nouvelle religion . Et voir même tous les tangos libérés pour réciter librement leurs rondeaux . Pourquoi doit se soucier de voir Boutef avec Olmert . En plus si Olmert embrasse Abbés , salue le Roi de la Jordanie , corresponde avec l’Emir du Qatar , se connecte à Rabat , appelle au téléphone Benali , envoie des cadeaux à Cheikh Abdallah , dîne à Charm Echeikh , participe aux fêtes des Chouyoukh , s’enquérait de la santé de si Salah , fait le clin d’œil à Isaias Afwerki et enfin il s’assure davantage de l’amitié de tous les Arabes . Je ne peux comprendre pourquoi voulez vous blâmer uniquement Boutef . Sommes nous plus Arabes que les Arabes ? Sommes nous plus Palestiniens que les Palestiniens ? Je doute fort que Boutef serait aussi niais à nier tout ça et il le sait plus que nous ? Vous venez de trébucher en s’affalant de tout votre long . Et nous , on voit pas vraiment la couleur de vos ecchymoses . C’est raté ! Votre démocratie à la con vous propulse avec des émotions hallucinantes à raconter que des bobards : C'est vraiment chacune de vos idées toujours alambiquée à ne rien insinuer sinon l’idée d’un faux démocrate stipendié à écrire pour gagner son pain . A mon avis votre position serait meilleure au rang d'anarchiste fou furieux et sans réaction . Vous écrivez n'importe quoi sans nous faire comprendre un seul détail de vos idées toujours farfelues qui ne cessent d’accoucher à chaque fois d’une souris blottie et en forme de Zéro

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:02

Franchement ce que vous écrivez n'a rien de spécial à nos yeux . Tout ça , le moins lettré de nous autres Algériens le sait . Mais le plus frappant et plus érroné encore , reste l'enchainement des idées dans VOTRE texte où rien ne semble se concorder avec l'autre . Vous parlez de l’assassinat de Mohamed Boudiaf en le citant comme exemple c'est à dire comme si cet événement est fictif . Vous nous faites noyé dans une question qui nous dépasse et vous nous dites qu'elle liée à la gestion des dossiers sensibles.Alors que Nous , on ne sait même pas quelles sont ces dossiers sensibles ou insensibles ? Vous parlez de Malik Mejnoun sans au préalable nous expliquer ce qui vous tracasse dans cette affaire ? Vous nous faites penser à Hassan Hattab, un tango repenti à oublier sans penser tout de même s'il sera comdamné ou pas ? Disons un sanguinaire lâche et poltron qui ne devait pas se rendre s'il avait au moins le courage de terminer sa sale besogne - Je dis : De grace Concorde civile est sa gràce ? Vous vous inquiétez de Abderrezak El Para alors que cet assassin est déjà fini . Comble du sacrilége ! Vous parlez de Boumaârafi juste pour completer votre liste de méfaits . Encore moins lorsque vous faites le juge de paix à faire plaider non coupbale Votre Hanane disparue . Ensuite du rang de justicier , vous defendez une soi disant chrétienne persécutée . Pourtant que dire de ça ? Habiba est Chrétienne sans foi. Cette néophyte de la bible sabirisée se lança dans une autre aventure, celle de prêcher la foi Chrétienne dans le pays du cheval barbe. Impossible d’aboutir à faire adhérer même le plus crédule des Tiaretis. Là, il faut bien comprendre que Habiba ou la femme illettrée de la crèche de Tiaret n’a aucune aptitude théologique ni aucune tentative d'intelligence rationnelle aux moyens des diverses catégories philosophiques latines. Elle ne comprend même sa langue maternelle et son cortex préfrontal n'emmagasine qu'un simple langage infantile et un raisonnement pour des fonctions à allaiter des bébés. C'est raté ! Même votre néologisme affiché '' cellule blindée du vatican '' n'a pas servi jusqu'à vous forcez à aller du côté de BLida vous promenez dans des lotissements déjà habités et bien tracés où Bouricha ne s'en soucie point de ce probléme foncier . Quel parcours fatiguant ! Las d'avancer encore loin mais je continue tout de même pour mieux justifier vos ingerences dans les affaires des autres . Beloucif , un retraité flapi et déjà oublié . Tout doucement , vous me semblez déjà extenué yah si Chawki le Zendjabil est sur tous les trottoirs des villes Algériennes alors que Si Ahmed a déjà tout avoué . Plus forte la chose , Si Chawki plus choqué encore se soucie de Tasoza et ses acolytes , tout en oubliant que Rachid et toufik se sont lancé que dans le "tbeznisse", C'est légal , n'est ce pas ! En plus la cour des comptes qui voulait intenter un procés contre le Président lui même , a bien fait égaré tous les dossiers . Yakhi Hadra yakhi ! Enfin , j'avoue que je conduit mal dans cette piste viccinale tracée par Chawki qui cherche en vain de trouver Kahlifa et se demande pourquoi n'est il pas extradé : C'est la bataille de Navarone qui l'interdit . Et puis l'Algérie est située dans une zone semi aride où on ne peut noyer personne . Yah cavè !</

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:02

A ce rythme de la connerie . J’avoue que le pauvre Chawki se voit déjà coincé et incapable de remplir quotidiennement sa rubrique . Il a du mal à amasser autant de mots et chaque jour . C’est une lourde charge , n’est ce pas ! Ainsi Chawki est condamné à s’en procurer plus de 350 mots à étaler sur son placard - Peint chaque jour . Un espace poussiereux et encombré . Cette fois ci , il lui semblait que la pomme de terre est en quelque sorte un label porteur . Oui , il y’a crise de patates . Pourquoi ne pas s’aventurer à en parler . Et puis des agriculteurs à Bouira ont bloqué le tronçon neuf de l’autoroute en y deversant quelques sacs de pomme de terre pourries . Oui . Pourriture bactérienne provoquée par l’alternaria . Des sacs de patates triés et choisis en la circonstance . C’est une aubaine ! Chawki doit décrire cette action musclée de la part des agriculteurs de Bouira . Et puis comme il est de nature séditieuse plus provocante qu’informationnelle , il charge et fait son bilan ... sans tenir compte des résultats , l’essentiel est de faire son écriture et d’oublier que l’action en elle même pratiquée par les agriculteurs est contraire à toute régle de civilité . Un acte de barbarie pure et simple pas du tout signalé par le pauvre Chawki ou celui qui écrit rien que pour colorer sa feuille du jour . Pourquoi Chawki n’a pas parlé de la circulation . Une autoroute bloquée où des centaines de vehicules étaient exposés à un soleil de plomb - Des centaines de bébés deshydratés et une odeur de mazout suffocante . Qui peut parler de ça ? Chawki n’a rien vu et va plus loin jusqu’à ironiser la chose , tout en y faisant comparer de la patate aux spaghettis. Messieurs ! Votre chroniqueur ou Chawki dicte les choses à sa maniére infantile sans reflexion aucune puisque il ne refléchit pas aux consequences de ce qu’il écrit . La preuve : Un commentateur vient de vous sommer de relire les articles avant de les faire publier : Affaire Bechar : Infirmiére ou aide soignante ? Revenons à Chawki . Ce gars là , semble pratiquer un style de rédaction infantile . Regardez bien ce qui est écrit dans le texte : En tous les cas, ce feuilleton tient les familles en haleine, plus passionnant que celui du troisième mandat . A ce stade de l’ironie pavoisée et sans aucun sens dans le cadre de l’information , prouve que ce petit gribouilleur au pinceau en blaireau fait autant de tâches indélibiles . Enfin , j’avoue que chacun de ses textes dissimule autant de couillonnades à ne couilloner que ses propres fans - cons .

 

 

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:02

Choqué ! Oui , choqué de voir Chawki en un voyageur à travers le temps . Cette fois ci sa machine à remonter le temps l’a bien fait parachuter à mi chemin entre la terre et l’amas des Hyades pour se retrouver égaré dans la constallation du taureau . Absolument merveilleux sa chute moins brutale dans une étoile qui brille suffisamment à l’éclairer . Hélàs , son avancée si lente toute comme une tortue l’empêche de remonter le temps assez vite . En premier la constellation de la tortue, placée là on ne sait par qui, elle a bien vite disparue.- Disons une étoile trop discrète à côté des géants célestes. En plus la reflexion de Chawki sur une géante si rouge laisse supposer qu’il voulait simplement impliquer autant de superflu à berner son lectorat . Oui , un léctorat qui ne sait pas que la tortue en un animal veneré par les babyloniens indique par son nom une constaellation ( C’est à dire une étoile ) , reniée par les Egyptiens qui préferent le scarabée ou les Grecs qui pensent qu’elle fut la porte des hommes , c’est à dire que c’est pas cette constellation de la tortue que les âmes venaient prendre possession des corps à la naissance – C’est un avis Grec . D’ailleurs dans la mythologie grecque, cette constellation est une sorte de crabe que Héra expedie à Hercule mais qui fut écrasé. Bon , ce bref cours d’Astronomie peut réveler que l’expression proprement dite par Chawki dans son artcile : Dans une galaxie hybride, entre la constellation de la tortue et Aldebaran , n’insinue rien et peut faire égarer les astronomes les moins myopes . Et puis Aldébaran qui forme un V marquant la tête du Taureau n’accroche en rien même dans les pattes la tortue . C’est aberrant , n’est ce pas ! Même en y consultant la liste des étoiles par constellation , la Constellation de laTortue en une étoile dominate au premier Mois de l’autonomne est si loin d’Aldebaran . Ainsi la distance qui les sépare en années lumiére ne peut illuminer l’esprit trop étroit de Chawki . Enfin , j’ajoute qu’il est utile de corriger chaque billet accouché difficilement par Chawki avant de le publier – Histoire de ne pas trop perturber les esprits des fans - cons de Chawki .

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:01

 Il est bien dit et par jean de la Fontaine : Tout vainqueur insolent à sa perte travaille. De cette moralité de l’illustre moraliste Français, il est clair que selon lui l'insolence est la nature la plus vulgaire qui soit. Oui, vulgaire : Ce mot veut dire interpréter certains choses en les déplaçant de leur sens logique pour les posées dans le sens de l’ironie. Ainsi Chawki qui gribouille dans une rubrique discourtoise croit que par l’absurdité de ses pensées, faire asseoir sa suprématie de grand chroniqueur. Pourtant, il ignore à tous moments que sa trame machiavélique de désinformer est souvent dénoncée. Cela me pousse à dire que le labyrinthe à Chawki , ses idées enfermées dedans et souvent libérées pour ne faire distinguer que le mal   sont franchement des méfaits qui justifient qu’une victoire en y dessinant le plus absurde n’engendre que l’insolence et ne se conclue que par le plus offensant. Et dire que le plus offensant se situe que dans l’esprit étroit. Certes, je crois savoir que mon analyse dans ce sens va droit à prouver que Chawki prône l’ironie comme une vraie  passion. Et tout à coup, naquit en lui la violence des mots et l’insolence de ces clameurs. Là, il clame avec impertinence haut et fort : Qui a dit que ce sont les électeurs algériens qui choisissent leur Président ? C'est mesquin une telle réflexion arrogante. A dire vrai, chaque Président de l'Algérie est pratiquement sorti de l’urne. Ça, c'est clair. Cependant l'urne en elle même constitue l'interrogation ? Comment a-t-elle été bourrée ? Peut être, remplie en la circonstance mais l'essentiel est que le scrutin a bien eu lieu. Qui dit le contraire. En Algérie, on vote, on s’exprime, on participe aux meetings, on se distingue en partisan, on roule en voitures pour Klaxonner au Nom de celui qu'on aime, on rentre dans les bureaux de vote, on se cache derrière le rideau pour choisir son candidat et on chante après  la victoire. C'est presque une démocratie complète malgré qu’elle est peut être secouée par les poussées ou certaines irrégularités. Oui, des irrégularités ressenties même dans les pays les plus démocrates du Monde. Voir l’affaire des machines à voter Diebold en Floride où Al Gore s’est mouillé les pieds. Que dire des scrutins entachés d’irrégularités en Suède, en Allemagne, en Ukraine, et au Danemark. Que dire des scrutins en Amérique latine, en Amérique du Sud et même en Asie. Est-ce que Chawki pense que les autres peuples du Monde ne désignent pas leurs Présidents ? Est-ce que Chawki a visité certains pays du Monde pour connaître les rouages électoraux ? Nous autres Algériens, nous avons choisi notre Président comme  les Américains l’ont fait avec leur Bouche. Pardon ! Bush … Tout comme les Indiens d’Amérique, les Noirs du Kentucky ou les derniers Sioux du Nevada sont autant bernés que nous autres Algériens. C’est raté encore une fois. On a choisit notre Président. En ce moment là, il est en train d’inaugurer le pont de Oued R’khem sous les yeux émerveillés des Hamzaouis (Indiens de Bouira) pas du tout insolents à renier d’avoir voter Bouteflika.

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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 00:01

Entre un maire et un viaduc, le Président s’en est encore pris à la presse privée, celle-ci faisant du mal et n’étant pas loin d’entraver le développement. C’est le commencement par une longue , une si longue phrase et ennuyeuse où personne ne peut comprendre quelque chose . Un maire : Un élu dans la plus lointaine des communes de l’Algérie profonde .On ne sait de quel maire s’agit –il ? En la circonstance et avec un viaduc en vue . Pour moi , celui de la commune de Ain Turk fera sûrement  l’affaire . Je l’ai bien choisi puisque Chawki le compare avec un viaduc . Encore plus c’est sa commune à lui seul  qui en compte le seul viaduc en Algérie . . Allons y !  Entre un maire et un viaduc : Selon Chawki c’est une question comparative où il n’a pas réellement définie la difference – Et puis si je tiens compte de la structure de la dite pharse -  Si  longue exhibée par Chawki je vois que le langage est totalement informel et qui n’insinue rien . Le langage combiné de Chawki pour faire cette phrase me semble  inplicite et désordonné dans les relations  de dépendance où rien n’est representé pour donner un sens – Disons les idées de Chawki s’apparentent toujours à une sorte de routine . Alors là , mon analyse dans ce sens révele que cette phrase si ambigue ne reflete en aucun cas un ensemble autonome , qui ne réunit qu’une succession de  mots désorganisés et sans sémantique pour degager un rapport établi entre Un maire , un viaduc , le Président et la presse privée . Une mise en rapport sans situation . Imaginaire .Une phrase pas du tout enchainée et sans connecteur pour réaliser une transition logique . Une phrase tirée de son contexte, pratiquement hors situation d'énonciation et qui a vriament perdu sa signification comme si Chawki construit . Qui dit le contraire ,? Enfin , peronne ne peut dire le contraire même si un jour les Dermatologues lui conseille de cracher sur la rubrique '' Point Zéro '' pour guerir ses démangeaisons de la nuqe aprés avoir bourlinguer sur cet espace à parasites
.

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