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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 13:11

                            C’est en quelque sorte mon premier éssai . Comme je suis un mordu de l’émission des grosses têtes  , je veux rendre hommage à tous ces membres , juste en y imaginant une histoire qui me semble un peu exagerée mais plus au moins acceptée puiqu’elle met en scéne les grosses têtes . Et puis l’humour ne tue jamais ... Même si c’est ridicule . J’admets que mon engagement à faire publier cette histoire est entiérement sous ma resposnsabilité au cas où les membres des grosses têtes se sentiront gênés par certains de mes caprices .

VOIR EN LIGNE :
Texte
                     Elevé à la campagne. Mathieu est en vacances à Paris depuis presque 15 jours. Toute sa famille se trouve en Bretagne dans une commune de la côte de Penthièvre. Et comme il ne connaît personne, une sourde angoisse s’est emparée de lui. Pour occuper sa solitude. Il choisit de faire un petit tour du côté de Sébastopol - Histoire de se défouler un peu pour un célibataire et pourquoi pas courir la gueuse pour dénicher une jolie blonde … ?
Ainsi décidé, il se renseigna sur ce quartier et Les premières informations furent suffisantes pour lui indiquer l’itinéraire. En y arrivant sur les lieux. Il arpenta le grand boulevard le visage hagard tout comme Philippe BOUVARD, le paterfamilias grassouillet au rire sous cape de la pétaudière des grosses têtes.
En marchant , il murmurait à voix basse : Je dois trouver une jolie blonde pas une brune … En y pensant ’’ Ma maîtresse du village , la femme du boucher est une gourgandine brune , ronde et grosse le genre CARLOS , mal embouchée et le ton gouailleur , D’ailleurs , reprit il , c’est une virago , en plus son truc trop  évasé ‘’ pete en plein acte ‘’ … C’est vraiment déguelasse et gênant mais j’y suis forcé à la fréquenter au besoin .
Soudain, il s’arrête net devant un sexy shop, puis contourna un groupe de prostituées, c’est alors qu’il vit une jolie blonde, givrée à frisettes avec de beaux seins à moitié nus à la Evelyne LECLERQ , la lady sexy un peu décatie et gueularde au chambard des grosses têtes.
Oh ! Papé c’est une femme terriblement excitante ! S’exclama t-il
Follement excité. Mathieu s’approcha d’elle et naïvement à la CASTELLI, en bâton merdeux et son célèbre galimatias ‘’ Effigie de ‘’ la coterie des grosses têtes.
Je m’appelle MA…THI…EU, je viens de PLURIEN et je travaille à la Bouillie, je …. 
                      La belle femme au caniche, drapée dans un organdi parme, leva ses yeux et le regarda en secouant la tête d’un air satisfait. Elle le trouva godelureau et bel le genre PRADEL, le minaudier impénitent et presque autiste de la célèbre escouade des grosses têtes.
                      Enchanté, Monsieur ! Répondit elle, mais c’est une histoire, n’est ce pas ! Si tu viens de plus rien et tu fais de la bouillie, cela dit que tu n’as rien, ajouta t-elle, en ricanant
MATHIEU sentit son cœur battre jusque dans ses poignets, les yeux agrandis de stupeur le rendaient plus beau encore, car il est si grand avec des bras musclés, une peau brune et de grands yeux bleus azuré, il se pencha vers elle.

- Oh ! Non, PLURIEN c’est mon patelin et Bouillie aussi est un bourg Breton où il y’a que du bouleau blanc et noir.
La putain moins gênée devant ce géant Breton très attirant.

- Alors, plus rien veux tu quelque chose ? Questionna t-elle

- Oui, Combien la passe ? Osa tout bas lui demander.

- 170 Euros , puisque tu viens d’une ville pleine de boulots noirs et vous ne payez pas les impôts , martela t-elle , en caressant sa chevelure indisciplinée toute pareille à celle d’Isabelle MARGAULT ou plutôt la houppe du bas bleu des grosses têtes.
Il y eut un silence. MATHIEU se livra à de terribles suppositions.

- Bah ! D’accord, murmura la gorge serrée

- Moi, c’est Arlette, je dompte avec habilité chaque Zigounette
Elle lui prit la main et se dirigent vers un hôtel borgne à prix plancher. Ils escaladèrent lentement les marches de l’escalier, c’est alors que MATHIEU retrouva sa nature vive. Il avança sa main rougeaude jusqu’au cul de la prostituée et le tapota familièrement.

- Ah ! Ah ! N’y touche pas surtout, lui ordonna t-elle

- N’y vois tu pas que cela peut m’exciter ?

- Oh ! Ça, dit elle, je n’en sais rien, car n’est ce pas ! Je suis une putain et faire le tapin c’est mon gagne pain … Hein ! En y ajoutant si tu ne me payes pas d’avance, tu vas aller déguster ta bouillabaisse de plus rien ? Grailla t-elle si fortement et d’une voix rauque, caverneuse et dure comme celle d’Amanda LEAR, la pimbêche au style heurté dans le cagibi assourdissant des grosses têtes.

- Effrayé par ses propos.
MATHIEU s’empressa de changer de conversation. Il la trouva d’un orgueil indompté.

- Ah ! Ça chauffe et sans barguigner, d’accord je vais casquer, dit-il

A l’entrée de la piaule, la femme salua un vieillard gringalet et cacochyme, le genre SIM , un cadavre ambulant et le ton goguenard dans l’arène aux récits poivrés des grosses têtes

- Hé Arlette, fais gaffe, il est dispos le mec dit il en plaisantant avec des rires aigus

- Merci du conseil, je m’en suis déjà aperçu et puis ‘je ne suis plus vierge pour craindre les verges ‘’ ignoble individu, répondit elle, en riant
En arrivant dans la petite pièce, un véritable fourbi. La bonne femme toute contente se déshabilla en se débarrassant de son collant et son petit chien jappait si fortement comme si c’était le rire sardonique de therry ROLAND, le comique snobibard à la piétaille des grosses têtes.
En la voyant toute nue, Mathieu émit un sourd grondement

- Qu’est ce qu’il y’ a mon coco, tu as déjà l’air extenué ? demanda t’elle

- Mathieu haussa les épaules, en passant vaguement sa main sur son front.
Et comme il était éperonné par son corps, il sentit que sa verge se redresse doucement, en devenant raide, dure et le gland effréné (tapez : www.guymontagne.fr/ et vous verrez ?) tout comme la calvitie de Guy MONTAGNE, le comédien galonné par des pavés pour se distinguer en un pilier des grosses têtes.
La putain se jeta sur un lit aux draps verts pisseux, en levant ses belles gambettes comme si elle faisait une galipette. Les yeux de Mathieu se brouillaient sous l’effet de sa nudité.



- Ho ! C’est une véritable … Une sacré callipyge ! murmura t-il difficilement
Mathieu reprit la parole et très doucement. Cette fois ci sans mot à dire, il ouvrit sa braguette et fait sortir sa zigounette. A ce moment là, il vient de perdre toute timidité. Sa grande envie est inspirée par sa passion de la prendre dans ses bras. Il resta debout à regarder Arlette allongée sur le lit.

- Viens, ne t’agite pas ainsi, et puis tu sembles tant me désirée, répliqua Arlette, en lui tendant les mains.
Il s’approcha d’elle et se débarrassa de son caleçon. Le zizi dans la main, il marcha lentement en amiral boucanier et causant comme Olivier de KERSAUSON le flibustier altier de la felouque des grosses têtes.
Mathieu s’arrêta net devant le lit. La belle femme allongée exhibait ses guiboles marbrées et rosies

- Mon fric ! Lança t –elle
Comme elle lui demanda d’envoyer les pépettes pour s’offrir sa chatte. La bouche de Mathieu s’arrondit en une moue gênée. Mathieu si serein tout comme Francis PERRIN, le guignol à la parlote qui ne vaut pas tripette au caquet houleux des grosses têtes, rétorqua avec colère

- Une fois pour toutes, cesses tes folies, ARLETTE, je t’ai promis de payer.
Comme indignée, ARLETTE se dressa sur le lit. Mathieu demeurait immobile avec la verge qui vacille comme si c’était la petite saucisse de Bernard MABILLE, le politicard trôné de la chambre en furie des grosses têtes Mathieu ne put résister à l’attrait de ses lèvres si tendres, ses jolies fesses et ses seins qui pendillent

- C’est affreux, Monsieur, c’est du chantage pur et simple
Pourtant ARLETTE sidérée par la virilité du cul terreux. Elle ne pouvait résister à son charme. Cependant, elle s’allongea. Mathieu profita de cet instant de bonheur, il est parvenu à dire d’une voix tremblante.

- Oh ! ARLETTE, j’ai le feu dans la bistouquette
Il l’embrassa passionnément. Arlette apprécia de plus en plus ce jeune et fort paysan. En la pénétrant Mathieu chantonna gaiement ‘’ Arlette n’est pas une virago – Cocorico, cocorico ‘’ Comme si c’était une chanson d’Enrico, le juif paltoquet et bouffi d’orgueil dans le cénacle à fumisteries des grosses têtes.

- Enfin, il retourna expressément avec quelque chose à sa PLURIEN pour plus de bouillies à la Bouillie et puis comme tous les chemins mènent au Rhum pourquoi pas à la Bouillie ?
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