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21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 20:34
les leurrés , déçus ...

Nour-Eddine Boukrouh se venge et parle avec agréssivité sur son maitre ...

 

Messieurs, nous voilà ! Encore une fois aux temps de l’Algérie des lâches utilisés, des pauvres types et des forbans de politique – A dire vrai , une fois déçus , bluffés et trahis ,  tout ce ramassis de traîtres, de mercenaires et d'aventuriers se lamentent  sans décence sur leur coquin de sort  et les erreurs de leurs illusions … Oui , ces gens-là ; sont véritablement les instruments du suprême mensonge politique qui tue notre Algérie … Ces gens-là , ont été les instruments de la propagande du Parti unique . Plus précis,  ces gens-là, sont des  demi-masques avec des nez gigantesques sous l'apparence de personnages intègres, probes,  vertueux et  capable de grands sacrifices. Pourtant, ces gens-là, cachent autant de saletés, de vices honteux,  de  basses ruses et des  tromperies rien que pour leurs intérêts égoïstes en se servant  des intérêts de la cause du peuple Algérien. Ça, ils leur  semblent  chose naturelle. Donc, j’avoue que mon raisonnement ne console point, ne calme point et ne ramène point mais touche et persuade qu’en Algérie, ces foutus gredins foisonnent  et pullulent  plus qu’ailleurs. C’est vrai, l’Algérie des toucouleurs avait enfanté autant de vermine endimanchée à l’image de Noureddine Boukrouh. Pourquoi ai-je ciblé ce mec –là ? C’est scandaleux son article ‘’ Quatrième mandat ‘’ D’où viendra notre salut ? De nous ou de l’étranger ? , publié sur le journal  "Le Soir d'Algérie " . Evidemment, je voudrais répondre avec agressivité au contenu à imagination  biscornue de cet article – Un article à raisonnement long où on ne peut en tirer aucune substantifique sinon  que d’être abuser par des refrains idiots, grincés méchamment  jusqu’à nous faire pousser à fermer  les yeux ou peut-être mieux se boucher les oreilles. Quelle mouche aussi furieuse a-t-elle piqué le sieur limogé du Parti P.R.A ou plutôt le mouvement « Pour Rigoler  Autant ‘’. Boukrouh dénigre le système politique Algérien … N'était-il pas  le  Monsieur  '' parlé pour convaincre '' qui, de 1999 à 2005, était  le ministre –mécano, chargé des PME et PMI, puis ministre du commerce. Là, je le précise, sous les ordres de Benflis,  Boukrouh tout heureux faisait  bien le ministre du Commerce, exhibant un thermomètre constant qui n'a en aucun cas justifier l'état fébrile de notre économie. Ah ! Non.  Le marchand de bric-à-brac de la cité Zerhouni Mokhtar, défendait avec bec et ongles l’immense capharnaüm des spéculateurs et le désordre d'une économie en déclin, nourrie que par la manne pétrolière en plus de la nature de son peuple qui ne produit rien mais qui ne sait conjuguer correctement que le mot ‘’ donner ‘’ et à mieux comprendre que l’adverbe  '' Gratuit '' - Un adverbe qui reste par excellence son devenir et son avenir . Purée de Merde !  Boukrouh, c’est aussi, l’écrivaillon de l'essai tordu retraçant le nouveau processus d’édification de l’Algérie. Vous voyez ! C’était énorme !  Si Boukrouh et on le sait, l'ancien chef révolté du P.R.A et déguisé en un opposant modèle ‘’ Perfidie féminine ‘’, était obligé bien sûr à rallier la cause Bouteflika en raison  du  0,1 % des voix qu'il avait obtenu lors des élections de 2002. Si minime que ce pourcentage de voix, fit changer sa vie d'opposant en  un commis de l'état stipendié à faire tout. Qui pourra aujourd’hui, écouter ce morne rapporteur. Oui, Boukrouh s'était activement mêlé à la vie politique pendant les années qui précédent le 2 ° mandat méritée quand même de Bouteflika. En conséquence à son rang de Ministre du commerce, il était trop élevé  et bien serein pour faire l'orateur populaire, éloquent à ne faire exalter haut que le président  et sa grande sagesse de diriger l'Algérie . Ah ! Une seule condition, il devra être plus longtemps qu'il faudra au poste de Ministre sinon il retournera sa veste . En tous cas et moi je me souviens au Mois de Mars 2005 , il passa d'un meeting à un autre parmi une affluence énorme du populaire , tout heureux pour se prononcer sans la moindre hésitation sur la bonne santé de l'Economie et  de l'Algérie '' Tout va bien '' , admirablement discourue en langue où rien ne manquait  à la qualité des styles à louanger sans réserves Bouteflika comme à blâmer sévèrement l'opposition .On a bien vu ça , c'est vrai  , tout a fait vrai que l'histoire le retient pour nous dire un jour et ce jour viendra que Boukrouh tout heureux ne voyait en aucun cas à cette époque de soin rang de Ministre que la Démocratie était menacée . Non. Et non, tout va bien pour Boukrouh qui pensait vraiment que Bouteflika est le meilleur de tous ... En fin de compte, les élections terminées ... A l'approbation massive du peuple Algérien de porter une prédilection particulière au Président, plébiscité à 75 % ; c'était la grande fête. Oui, ce jour- là  et à la grande fête, Boukrouh était là, en un convive charmant, respecté et pour service rendu, à participer triomphalement  au festin du 2° mandat. Là, malheureusement ; devancé par la caste de nouveaux lécheurs à langue plus spongieuse, il se voyait déjà isolé quelque peu et a bien vu apparaitre lors de ce grand banquet de la grande victoire, des mots  dessinant sa véritable personnalité de " persona non grata, renégat et opposant non dérangeant ‘’ qui annonçaient  à juste titre sa fin prochaine. Ah ! Le sinistre imprévisible !  En  2006, il est éjecté de la mêlée plutôt expulser rondement à l’effet de la guerre de siège malgré  et ça n'a pas suffit à le maintenir dans la nappe fraiche  de la coterie politique, ses cancans ridicules et honteux portés aux oreilles des populations lors des meetings du deuxième mandat. Pardi ! Ouyahia préféra  El Hachemi Djaâboub , nouveau lécheur à nettoyer tout  … Aujourd’hui , bien que Boukrouh en un lâche utilisé ,  converti ensuite en  un opposant timide et malgré qu'il s’exprime à travers la rubrique du journal "" Le soir d'Algérie '' avec un ton agressif et  dur pour dénoncer l’autorité répressive de Bouteflika et compagnie , j’avoue dans ce cas –là que son lettrisme et ses petites connaissances de coulissier et de remisier,  ne jouent  que sur un fond d’illusions subjectives qui masque mal sa trahison qu’il pleure , qu’il essaie vainement de rejeter hors de lui après avoir été rejeté de côté  et loin de faire partie une deuxième fois de la castramétation des commis de Bouteflika . Ah !  Aujourd'hui , je vois bien que son bas de laine est quelque peu vidé, la bourse ronde du parti P.R.A, désormais ficelée que par Yacine Tarkeman … En plus d’une côte de popularité presque comparable à celle d’un joueur de football évoluant en division de Wilaya , laisse supposer que Boukrouh via "Le soir d'Algérie '' ne cherche en vain qu'une réputation d'intégrité . C'est fini ... Et bien fini. Oui, il est dit que " l'honneur et la réputation ne sont soignés que par les mots qui sortent de la bouche " - C'est un adage des monts des Zibans ... Que dois-je dire encore sinon en conclusion j’imagine encore Boukrouh au Mois de Mars 2004 lorsqu’il louait grandement Bouteflika. Devant la grosse masse ramassée de partout. Qu’est ce que c’est ça ? Boukrouh  en  un bon calculateur ce jour-là,  chiffrebien ... Des projets et des projets incalculables. Oui,  Boukrouh possédait  , afin de garder son poste de Ministre, ce qu'on appelait alors une belle main qui frictionnait sans relâche, avec une foi entêtée sans jamais oublier de ne pas prononcer le Nom de son maitre à chaque instant. Quel malheur ! Boukrouh  en un ministre respecté ne cessait de nous tromper, palabrant fièrement la santé des marchés Algériens , touchant une  production des plus efficaces  et des échanges les plus avantageux, pour nous indiquer par garantie les meilleurs moyens d'aboutir à la prospérité dans un cadre social déterminé. J’imagine encore Boukrouh dans ses plus beaux atours  qui  encensait  la politique de son gouvernement et va plus encore dans son raisonnement ‘’Télévisé ‘’ en plus, pour nous dire que l’économie de l’Algérie va bien. Il était le garant de cette économie de bazar … Oui, il était le Ministre du commerce – Un ministre confiant et stipendié  à gros sous pour ses efforts lors de la campagne du 2° mandat, décroché avec un taux aussi élevé de 75 %. Aujourd’hui, il est isolé, poussé à écrire ses mémoires lugubres et ses actions ministérielles que cela provoque assurément en lui des états d’âmes ou des sentiments intraduisibles que par des mots. de remords , de vengeance et ceux qui justifient qu'il n'aime rien de ce qui est Algérien . Eurêka ! Le Journal le soir d’Algérie en panne d’informations, des journalistes à esprit coincé à l’image de Hakim Lalam qui  ne reprend que les refrains des billets exhibés lors des campagnes antérieures, voit bien et utile de ménager un petit espace à Boukrouh. C’est fait ! Boukrouh parle … Et il est bien dit : Parle pour que je puisse te connaitre. Donc, les lecteurs du journal commencent déjà à le connaitre puisqu’il nous fournit  qu’un  simple élément d'appréciation qui se joindra à beaucoup d'autres sur lesquels s'appliquera le raisonnement du médecin sans  stéthoscope qui ne pourra jamais tirer son diagnostic …  Enfin , comme , je déteste l’hypocrisie et la déloyauté  , je dis  que Mister Boukrouh -fini , triche la vertu qu’il nous donne un honteux exemple de nos politiques déçus  qui utilisent en fin de compte à leur déclin  que les sept pédales du clavecin … C’est efficace ! Il sert à augmenter les notes tenues et prolongées mais à différentes mesures.

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