Mon nom est un inconnu, une variable, je reste dans l’ombre, en premier plan, je suis proche et peut être un peu loin de Hakim - Hakim , un chroniqueur si connu après avoir traîné la patte dans une décharge que Abrous n’a pas vraiment bien entretenue. Ensuite, transféré dans une niche bleutée et très spacieuse. Là où il s’est adapté expressément, là où il a savouré autant de plaisir. Vous devez me croire dément ! Je le dis comme ça non pour cause de schizophrénie ou de personnalité multiple même, mais simplement parce que quand bien même vous le sauriez vous l’altèreriez, je ne vous dirai donc rien, il n’y a aucun doute à avoir. Je suis contre ce qu’il raconte. Des mensonges et des mensonges … À ce titre, des mensonges qui sonnent bien comme une cloche de cristal, un son perturbé et assourdissant - Pour unique réponse, j’écris et je dénonce ces mensonges vides et presque moqueurs. Je ne comprend pas pourquoi il ne cesse de dépiauter les gens comme des animaux. Donc, je peux dire qu’à ce moment je ne sais pas ce qui se passé mais quelque chose le pousse à faire du mal par écrit. Pourtant, il sait bien que : Les paroles s’en vont mais les écrits restent. Je crois qu’en tentant de lui glisser une réponse à chacun de ses articles ou du moins démontrer mon existence, j’ai prouvé ma dignité gardée jalousement jusqu’alors. Chacun des essais de Hakim ressemble plutôt à un pitoyable appel à sa détresse d’une vie stipendiée. Quand je n’écris rien, cela m’humiliait. En restant de marbre ma dignité eu sûrement été conservé, mais je veux toujours contrecarrer son mensonge quotidiennement étalé au grand jour sur le toit de sa niche bleue. Lisez, je vous rapporte mot pour mot son article ‘’ ‘’ Je découvre l’hypocrésie des mots affables, pataugeant dans des textes si infâmes et si mal rangés. A cela, Je découvre aussi Hakim dans sa nature la plus médiocre. À chaque texte lu, l’affront de Hakim me revient en tête avec le goût de la vengeance, je me sens inhumain où seule, une réponse en temps réel m’apaise pour dénoncer ce chien stipendié qui me semble être la source de ces bruits détestables. Déjà je le haïssais et je le hais encore cette racaille que je ne supporte plus.