LE GENERAL DE GAULLE N'A PAS FAIT LA GUERRE . IL FAISAIT LE SPEAKER CORNERA HYDE PARK
La preuve ! Lors du discours de Jacques Chirac du 16 Juillet 1995 au vélodrome d’hiver , reconnaissant la responsabilité de la France dans la déportation vers l'Allemagne de Juifs français au cours de l'occupation du pays par les nazis, constituent une rupture avec la doctrine gaullienne, suivie avant lui par tous les présidents de la Quatrième République et de la Cinquième République, qui rejette une telle reconnaissance au motif que le Régime de Vichy, sous la direction duquel ces exactions ont été menées, n'était pas l'autorité politique légitime de la France (cette autorité étant incarnée par le général de Gaulle, chef de la France libre . Pourquoi a-t-il parlé de rupture avec le gaullisme alors que c’est le général De Gaulle qui rejeta les lois répressives sur le statut des juifs. Il critiquait l'absence de légitimité de ces lois. Après la guerre, un débat doctrinaire de philosophie politique portant sur la différence entre des lois « légales » et lois « légitimes » s'installa. Ainsi, les lois répressives et racistes de Vichy étaient par exemple légales au sens juridique et constitutionnels par rapport à la hiérarchie des normes. Mais, selon de Gaulle, elles manquaient de légitimité. Donc, Dans son discours mensonger Jacques Chirac avait concentré ses attaques contre la carte Vichyste tout en blâmant le gaullisme comme étant source de rupture du rythme du mouvement républicain et le commencement à son idée de l’allumage du flambeau de la discorde et du fanatisme entre les Républicains si l’histoire de l’économie Française des années 50, affichait que tous les débats d'ordre économique ont été à l'origine des opinions , divisant la France de la IVe République et qui avait sombré à nouveau dans l’immobilisme en raison du pouvoir centralisé De Gaulle . En plus, il est clair que le général De Gaulle, après avoir atteint son but de guerre et restauré la démocratie, a critiqué le régime des partis qui avait été selon lui pour la France, avant la guerre une source de faiblesse, et préconisé l'instauration d'un système cumulant la démocratie avec un exécutif fort . A dire vrai, les différentes interventions de Jacques Chirac , marquent en quelque sorte la fin du Gaullisme . D’ailleurs, les successeurs de général De Gaulle . A savoir Georges Pompidou et Jacques Chirac , ont toutefois normalisé le programme gaulliste en l'alignant sur celui des droites européennes pour parler du « néo-gaullisme » et non plus de gaullisme. Ainsi, le néo-gaullisme moderne n'a gardé du gaullisme que l'idée d'une France forte au sein d'une Europe indépendante. Oui, cette idéologie Gaulliste, ratée dans le sens de son idéal politique qui accorde le maximum d'importance qu’au chef , à l'initiative privée et réduit le rôle de l'État au minimum ou même à rien – Le Gaullisme est presque pareil au Wahhabisme dont l’idéologie n’admet qu’un seul chef incontesté . En gros, l’initiative politique individualiste de De Gaulle et sans idéologie manifeste au contraire des idées imaginées sur un parcours politico-militaire sans analyse scientifique de la pensée sinon une sorte de pensée peu cohérente , dépendante des conditions historiques tendues vers un destin commun (les Croisades et la chevalerie, le Grand Siècle de Louis XIV et le rayonnement de la culture française à travers l'Europe, la Révolution française et Valmy) , ornée par un discours tendant à effacer la tentation de la France à se replier sur ses querelles intérieures (politiques, sociales, intellectuelles) pour lui éviter la voie du déclin. Oui , de longs discours qui n’ont pas collés en une superstructure de la société Française ni jamais soutenue en raison d’un pouvoir centralisé , un État autocratique et sans projet , articulée sûrement par des institutions politiques sans équilibre des pouvoirs ayant engendré des dissensions internes . A la France laïque , le Gaullisme fut tel un ouragan déchainé car la philosophie repose sur le principe du patriotisme uniquement sonné du cor à plein souffle à partir de Londres . Et puis De Gaulle n’a pas fait la guerre , préférant le speaker’s corner où ses paroles sont captés sur les antennes de la BBC à Broadcasting House , précisant le drame qui commence mais déjà vécu par les Français en France à cette époque là . En plus , il est clair que sa doctrine est une philosophie presque religieuse , héritière du christianisme évangéliste des sociaux démocrates , prônant une politique conforme au message qu’expriment l’Évangile, la doctrine sociale de l'Église et les travaux de penseurs chrétiens avec comme idéal l'an II (jour de proclamation de la République, déclaré premier jour de l'« ère des Français ».) . Foutaise ! En conséquence , dans le gaullisme , il n’y ‘avait pas eu pas de finalité , la grandeur de la France n’est en place que par association aux Européens et appliquant à la règle chaque phrase prononcée du côté de Washington . rebof… Le Gaullisme est tel une étoile filante qui raye brièvement le haut du ciel. Une démarche despotique , développant une sorte thèse visant à blâmer et à culpabiliser davantage la carte Vichyste , à grossir médiatiquement le rôle du général De Gaulle , en vérité, pas du tout militaire mais que inspirateur et organisateur des paroles spécialement conçus pour le micro, adaptés au mieux possible selon le répertoire rassemblant déjà les premières bribes des confidences sur Le mouvement gaulliste à venir , très bien tenu, entretenu et soigné par Elisabeth de Miribel . Peu après , ce mouvement catastrophique ne privilégiant que le pouvoir exécutif , héritière de la droite traditionnelle , ultraconservatrice coloniale , anti-communiste bien sûr … est affaibli par le gouvernement de la troisième force qui voyait que le recours à de Gaulle semble alors moins nécessaire, en plus , il pensait aussi que son idéologie gaulliste est l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». A ce stade, les gaullistes ont été divisés alors entre les loyalistes, qui fondent l'Union des républicains d'action sociale (URAS), et les autres, qui rejoignent l'Action républicaine et sociale (ARS). Au fait, le gaullisme affiche en gros dans un sens philosophique que seule, l’instauration d’une politique sociale en France et sur mesure, issue des idées gaullistes à nature prééminente mais sous la forme samaritaine envers le peuple Français, pourrait souder leur nation si le peuple aura ventre plein. Avez-vous entendu parler des restos du cœur ? Coluche avait raison d’imaginer ses espaces à soupe pour mieux confirmer que le gaullisme est comme ‘’ Telle bouche, telle louche ‘’, c'est-à-dire ‘’ Vive de Gaulle, la mesure du bien est si grande sinon qu’une sauce fade et le vivant blagueur finit par accomplir son destin dans le mal. Eh bien, la politique sociale dégagée du cadre idéologique du gaullisme est presque comparable à une charité de l’Etat , touchant même les colonies si le plan de Constantine viendra ensuite pour couronner une si belle initiative d’un programme économique au profit de ces populations Algériennes en vulgaires indigènes déjà codés par le statut de l’indigénat . Pourquoi le général a-t-il pensé aux Algériens ? Avant, De Gaulle croyait bien à la moralité « Charité est une patrie quand elle est vraie ». Finalement, il croyait qu’il s’agit bien du territoire de sa grande réussite politique. C’est bien là , en Algérie où il a bel et bien pris l’avantage sur ces adversaires à contrecarrer le plan Roosevelt et l’alliance Giraud –Darlan , lorsque le 3 juin 1944 à Alger, le CFLN devient le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) et faisant de lui , le seul chef politique des forces françaises alliées . Ce n’est pas du tout ingrat de l’homme qui organisa ensuite la grande série des opérations militaires menées par l'armée française , soldées par de sanglantes tueries où le bilan officiel affiche aussi amèrement que 75 % des martyrs Algériens au nombre de 1.5 millions , ont été massacrés durant cette période 1959/1961 à l’initiative du plan De Gaulle – Ainsi , il est dit et en Algérie que De Gaulle compte à son actif , l’assassinat de plus de 1 131 000 Algériens . Bilan épouvantable ! Bilan à inscrire sur la liste des grands crimes contre l’humanité. Un passé récent qui n’entre jamais dans l’oubli au contraire stocké douloureusement en un souvenir conscient dans la mémoire du peuple Algérien. Eh bien! Peuple d’Algérie, oubliez, génocides, massacres, marginalisations, bombes, exécutions et nos martyrs ! Non. Ceux qui pensent que nous avons oublié, n’oublient jamais que nous, nous ne vous oublieront pas car le mal que vous avez fait, se trouve enfoui si profondément dans nos consciences à plusieurs copies imprimées dans nos âmes Algériennes et retransmises par similitude génique de génération en génération. Alors, là, je doute fort que les Algériens oublieront aussi vite le général De Gaulle. Nous nous souvenons toujours de la phrase lancée par le général « Je vous ai compris ». Alors qu’à cette époque là, les Algériens n’ont rien compris … C’était si ambiguë que c'est clairement décidé. Une phrase embrouillée, lancée aventureusement et visant à rassurer les Algériens et les pieds noirs ou plutôt ces vilains sabots noirs. A coup sûr, il voulait rassurer beaucoup plus, les pieds noirs. Et dire que l'humoriste Pierre Desproges pense lui aussi que le message réel aux Pieds-Noirs était « Je vous hais, compris ?, c'est-à-dire vous voulez rester et je vous aiderai … Vous voyez que c’est profond et profondément imprimé dans nos cœurs toujours haineux. Il est jugé utile de signaler que la ville d’Alger, est le lieu par excellence de chaque événement historique de la France. A juste titre , elle a joué un rôle majeur dans l’histoire de la France d’avant et d’après la seconde guerre mondiale . Ah ! Alger la blanche et son histoire avec Le gaullisme … Heureusement, tout ce qui s’est passé en Algérie, avait laissé tout de même au général des regrets infinis. qu’il se voyait en 1961, quelque peu bousculé par Valéry Giscard d’Estaing, secrétaire d'Etat aux Finances. Le général de Gaulle déjà au pouvoir est induit en erreur par Michel Debré et sur sa proposition nomma Valery Giscard D’Estaing, ministre des Finances et des Affaires économiques mais le jeune VGE (il a 35 ans) n'est pas gaulliste. Il appartient au Centre national des indépendants et paysans (CNIP), un parti de droite dirigé par Antoine Pinay, ancien président du Conseil sous la IVe République. Il est aussi l’auteur du plan de déstabilisation de 1963 ayant conduit la chute de Georges Pompidou, remplacé par Michel Debré . De Gaulle est attaqué sur tous les fronts , de l’extérieur , la manifestation antigaulliste ( Rome , 1965 ) l’obligea à partager le pouvoir , d’ailleurs il savait qu’il était encore ciblé et que le dernier attentat du 8 septembre 1964 , lui avait provoqué autant de peur jusqu’à rester casanier . ET puis , trois (03) attentats successifs , il est devenu plus faible que le déclencheur de la jarre piégée . Continuons, le nouveau Maire (VGE ) de Chamalières ( Puy du Dôme ) fonde dans le même temps la Fédération nationale des républicains indépendants (FNRI) en proclamant : « Nous sommes l'élément centriste et européen de la majorité ». Quelle allure ! Valery monta en flèche que son influence fit créer cette époque les JRI (Jeunes républicains indépendants) futurs jeunes giscardiens. A la preuve de son désaccord total avec le général De Gaulle et dans le but de le provoquer , il soutint en 1969 la candidature de la Grande-Bretagne à l'adhésion de la Communauté économique européenne. Son attitude envers le président de Gaulle est de plus en plus critique ; il parle notamment d'« exercice solitaire du pouvoir » et théorise son soutien critique, le « oui, mais ». Il appelle à voter non au référendum du 27 avril 1969, dont le rejet entraîne le départ du général de Gaulle. Lors de l'élection présidentielle qui suit la démission de De Gaulle, il penche un moment pour la candidature d'Antoine Pinay, puis se rallie, le 30 avril, à Georges Pompidou. Tout ce parcours est issu de l’après guerre lorsque les indépendants ont permis de recycler nombre de notables qui, souvent, avaient eu quelque complaisance à l'égard de Vichy et deviendront plus tard des défenseurs de l'Algérie française. A droite, la haine du général de Gaulle, déjà nourrie par son attitude durant la Seconde Guerre mondiale, va se renforcer avec l'indépendance accordée à l'Algérie. Fondée à la suite de l'échec du putsch des généraux d'avril 1961, l'OAS (Organisation de l'armée secrète) regroupe les partisans les plus extrémistes de l'Algérie française. Michel Poniatowski, alors directeur de cabinet de Giscard, en fut l'un des pivots. En tous cas , Valery Giscard d’Estaing contribue à l'échec du général de Gaulle, lors du référendum de 1969 – Oui , tous les influents de la droite , n’étaient pas Gaullistes à 100 % , ils faisaient semblants du vivant du général car ils savaient que le général était véritable despote et que ses erreurs sont nombreuses dont la décision à la création des réseaux de ce que l'on appellera plus tard la Françafrique qui furent mis en place car l'éphémère communauté française, n’avait pas maintenu des liens étroits en recourant au contrôle rigoureux avec les nouveaux pouvoirs des états africains malgré les accords financiers mis en gage que dans le but d’assurer un soutien diplomatique dans la stratégie d'entre deux blocs de De Gaulle. Plus tard, reconnue comme une grande erreur de la stratégie du général De Gaulle, basée sur l’ingérence en priorité. C’est justifié ! De Gaulle, lui-même était dérangé en novembre 1958, lorsque les gaullistes remportent les élections législatives et obtiennent une confortable majorité car il reconnaissait que son élection à la Présidence de la France souffrait de crédibilité dans ce suffrage indirect, sans la participation du peuple Français. En plus, il avait bien dit : je sais que tous Français refusent de consentir pareils actes en plus que le sondage définitif ne prend en compte que le collège des 80 000 grands électeurs. C’est peu qu’il a pris timidement ses fonctions de président de la République le 8 janvier 1959 . Ho , là ! Et les Chinois ! Ne vous faites ! En France, Il y’a toujours succession dans les événements. C’est Georges Pompidou qui accomplit la volonté exprimée par le général et qui s’acheva par l’adéquation du projet Franco-chinois, lorsque au Mois de Septembre 1973, le nouveau Président Français fut le premier chef d'Etat français et du monde occidental à se rendre en Chine. Pareil ! Si aujourd’hui , le voyage de François Hollande en Chine n’est pas historique, c’est la méthode d'évaluation des besoins de la France qui est « historique ». Voyons ! La France est en proie à une panique grande qui, bien ou mal fondée, est sérieuse. Dans tout l’hexagone ? C’est la frousse ... Dans le siège de chaque Parti Français, la peur suinte les murs. Après la confirmation de la perte du triple A de la France, abaissé à AA+ avec perspective négative, ce qui constitue à la fois le baromètre et le symbole de son déclin. C’est avéré ! Nicolas Sarkozy est sorti par la petite porte de l’avancée du palais de l’Elysée. Ah ! Sa note électorale a été plus faible encore que cette notation financière mesurée à la capacité de la France Sarkozienne , incapable à rembourser ses créanciers en fonction des lourdes dettes des finances publiques, de la croissance potentielle à décalage conjoncturel catastrophique et surtout la mauvaise qualité de son gouvernement à gouteurs des pâtisseries Jupettes ( Deux innocents Français au Niger ) . François Hollande s’éveille de ce mauvais rêve … Ensuite de celui du triple A , ça devait être un de ses soucis majeurs dont le taux chômage à 7.9% , est probablement le muscle accélérateur de la croissance toujours inférieure à 1 % du fait de l'euthanasie des entreprises, du travail, de l'investissement et de l'innovation où il compte trouver un espace –emploi pour assouplir la protection de l'emploi et à réduire les contraintes réglementaires du droit du travail, ce qui encouragerait sûrement la création de nouveaux emplois, en particulier pour les jeunes . Ah ! Les finances publiques et la disette d’argent mal soignée depuis presque une année que la lourde dette persiste jusqu’à sortir de tout contrôle en raison de l’absence d’une dynamique relativiste des Socialo-Rigolos (Stabilisée sans aucun mouvement depuis presque une année à 9 % du PIB, avec une hausse de 680 milliards d'euros depuis 2007), mais surtout que le niveau record des dépenses et des recettes publiques est toujours de mise , respectivement 57,6 % et 49.3 % du PIB . Eh bien, le trésor public Français est en quête d’une flanquée d'appuis à son marché monétaire et, également, menacé sans cesse par une inflation galopante. Donc , en raison de l'interférence de l'inflation monétaire , la nouvelle tendance politique financière de la France Socialiste , critiquée quelque peu avec : La France, de la dégradation financière la régression politique , exclu tout isolement de la France à ne plus s’isoler des pays de connaissance, économiquement, historiquement et moralement, à la relation dose-effet. Ah ! François Hollande s’accommode mal de la diversité d’apparence anarchique dans les relations de la France avec tous les pays, hérité du Sarkozisme aveuglant, isolateur et belliqueux où il s’efforce de trouver des relations d’apaisement et de causalité dans ce remue ménage à la Sarkozy ou peut-être , celui du Gitant égaré , qu'il a observé dés son avènement à la Présidence . Pourtant, il se trouve que son voyage en Chine dit « Historique » n’a qu’un seul esprit – Un esprit commercial et commercialement rentable à la France visant une volonté d’expression politique socialiste , plus moderne par rapport à l'état lamentable où la Présidence de la France au PS , laissée par Sarkozy , à ce point de vue comme à d'autres, la fin de la bataille de la France Socialiste n’est pas encore finie qu’il lui reste tant à faire , plus individualiste et tans pis pour l’U.E, plus rentable en priorité à ne renflouer que les caisses Françaises en y favorisant l'allure des rentes de la France dans n’importe quel endroit du moment sans regarder l’identité du négociateur . Si je dis, des accords avec les Chinois sur la vente de 60 Airbus … Et sous la table. Tout doit être caché et actionné à d’éventuels financements car la dégradation financière de la France et la faillite de son modèle de croissance à crédit, conçu sur la consommation et nourrie dans un sens par des transferts sociaux (35 % du PIB) exige d’être financé de n’importe avec quoi si la dette publique boite et n’est plus dorée sur tranche . A lire la suite …
