A dire vrai, je ne voudrais en aucun cas porter préjudice aux nombreux lecteurs qui zyeutent dans l'espace vide et commençant par un zéro de Chawki pour aboutir ainsi dans une course folle démarrant d'un point Zéro où les gens courent sans chrono. Donc, ces gens là s'ils sont vraiment intéressés à courir dans la chronique '' Point zéro '' pour un marathon interminable. Je précise, je n'ai rien contre ces gens qui font courir leurs yeux myopes pour rien à lire et relire les racontars absurdes de Chawki. Eh, bien, ce mec là – Chawki trop choqué à ne supporter les choses qu'après les faire publier. Des articles à bassesses difformes où le langage de l'ignorance crasse trace des sillons tordus dans cet espace graveleux. Graveleux, oui. Là, j'avoue que mon désir ardent et le plus souhaité n'est autre que de rectifier les faits apocryphes rapportés par Chawki. Cette fois ci, si je me manifeste d'une façon plus brutale, cela vient de ma lecture de l'Article '' Condoleeza et Habiba ''. Je le dis bien, ce Mec – là avec un esprit qui tangue au moindre sifflement que son oreille capte. Il vient de prendre en compte le contexte de l'affaire Habiba où la femme la moins désirée et indésirable à Tiaret pour en faire une confusion. A plus forte raison la comparaison Habiba et Condoleeza. C'est injuste de vouloir berner le lectorat avec le superflu à ne rien insinuer. Je reprends le principe même de sa plaidoirie. Et je dis la première est une employée d'une crèche, illettrée et convertie en une Chrétienne non pratiquante seulement ayant pris concept de cette religion. La deuxième et je ne suis pas impressionné du tout, est une femme politique impérialiste, fille de pasteur presbytérien anti chrétien, lettrée et reçoit ses diplômes avec une mention honorifique. Actuellement secrétaire d'Etat de l'empire impérialiste après avoir fait partie de plusieurs conseils d'administration. Polyglotte et l'un des bras séculiers de la famille BUSH. A partir de là, comparons la comparaison faite par Chawki. Toujours et pour la première, l'énormité de sa connerie de vouloir prêcher le Chrestianisme en terre musulmane, par un langage qui ne compte que quelques mots en Français cassé (je préfère ça) …. Oh Pardon ! De notre langue Sabir, quelques mots comme dire '' Plafond = Blamfou '' ou peut être '' Moi, chrétienne = Moi qui traîne ''. Vous voyez ! C'est très simple de se convertir avec vitalité en Chrétien, sans souci aucun au langage déjà dans nos têtes et appris ici en Algérie. Juste en gauchissant un peu le mot Français il peut être entendu phonologiquement clair pour renvoyer le mot qu'à un seul phénomène codé et qui symbolise le mot à vouloir décrie : Bidon = Baydoun en langue toute proche … C'est tellement mesquin cette affaire Habiba que je n'y peut m'en passer que difficilement. Comme vous pouvez l’imaginer, une illettrée aussi ignorante vient d'épouser sans anneaux les Unes des journaux Algériens. C'est aberrant, n'est ce pas ! Que de calomnies aurons nous à subir de ces plumes de poulardes ! Que d’insolence et d’intrusion qu'on ne peut ignorer ! Toutes les manigances médiatiques, perpétrées contre l'Algérie et sa République pour une simple affaire de femme convertie au Chrestianisme et comparée par Chawki à Condoleeza RICE. Celle là ou la guenon des BUSH plutôt que la 1° femme la plus puissante au Monde comme l'a indiqué le magazine Forbes par une simple exagération des faits pour y cacher le racisme. Je doute fort qu'une négresse aux pays de l'oncle SAM accédera à cet ordre de mérite, elle qui a déjà connut la ségrégation lorsqu'un Professeur raciste de Denver déclare que la supériorité des Blancs est sans égal. Peu importe le rang, l'appartenance, la religion et la couleur. L'essentiel faire comparer Habiba à Condoleeza est en en quelque sorte un essai raté où le fossé qui sépare les deux femmes est plus grand que celui du fossé de Saint Andréas aux Etats-Unis. Incomparable ! La vie d'une employée de cherche sous ordres par rapport à celle d'une femme forte et donnant des ordres au destin même de certaines régions dans le Monde. C'est insignifiant une telle comparaison. A chaque événement et comme pour vouloir faire des troubles, les mauvaises langues journalistiques (Certains d’entre- eux) foncent pour autant de resquilles à aveugler un lectorat myope et borgne. Je pense, tout de même et avec préméditation de le dire publiquement que si ces journalistes sont soumis à un code d'information sévère. Ces plumes invétérés auraient certainement appliqué leur langage insolent, mais hélas ! La libre expression menace l'Algérie entière. Oui, c'est vrai les agressions reprennent de plus belle et il faut compter de longues années pour que cessent ces balafres littéraires. Une balafre littéraire est un petit texte informel sans information aucune et en plus publié aux yeux ahuris de ceux qui repèrent vite la désinformation de la promotion mensongère. En Apparence, Moi je sais que ces journalistes sont, en plus incompétents et d'un niveau intellectuel proche de l'indigence. Ils sont aussi obséquieux devant les puissants (Condoleeza) qu'ils sont asservis par des Boss hors information de simples commerçants à registre de commerce '' Ecrire par les plumes des autres pour s'enrichir '' en marchant pas à pas avec mystification sinon l'appât lascif de la parcimonie qui unit Boss et plumes de poulardes. En conclusion, l'article '' Habiba et Condoleeza '' reflète instinctivement les idées infantiles de Chawki. Infantile et pourquoi ? Chawki se lance dans la médisance et il est bien dit que la médisance, ressource ordinaire de la méchanceté qui n'a rien à dire. Là, sa comparaison est comparativement comparer à '' Ce qui multiplie les libelles est la faiblesse de les craindre ; ce qui fait vendre les sottises est la sottise de les défendre . Vous voyez ! Chawki vend la sottise à travers El Watan (10.00 Da) en y comparant ces deux femmes incomparables. Et encore plus, il nous fait savoir que ceux femmes incomparables ont plus au moins un point en commun. Un seul peut être et selon lui ? Qu'elles ne souhaiteraient pas vraiment vivre en Algérie. A cette réflexion bizarre du point commun entre les deux femmes , affiché sur la chronique '' Point Zéro '' Je me réserve la liberté de dire que Chawki a bien oublié que la première en une Tiartia vient de respirer l'air de ce grand pays pendant plus de 37 années . Ces poumons sont déjà pleines de grains de sable . ( le Sirocco souffle toujours ) . Bon , le souhait de la première n'est guère ressentie vulgairement car tous les Tiartis souhaitent aussi qu'elle foue le camp . Par la contre , la deuxième moins fixée sur notre pays , préfère peut être le pays de l'Indonésie . Et elle a raison .
Il est bien dit : La vie est en rose et souvent pas du tout. Çà et pour la vie, çà peut coller puisque même les chambres sont souvent peintes en rose. Donc, le rose est une couleur stimulante, c’est tout. D’ailleurs en Médecine chaque organe épousant une couleur rose justifie qu’il est en bonne santé. En plus la physique considère le rose comme un rouge dénaturé ‘’ un bâtard du rouge triomphant ‘’. En suite cette même couleur du rose est reprise en une couleur placée même dans la personnalité de la poésie. En avançant encore plus, la couleur du rose c’est la préférence des filles, Mais quand on dit qu’une situation est en rose. Là, je deviens tout rose de honte. Honteux en rose. C’est peut être juste. Qu’on est timide, le sang vient se coller directement aux joues. Tout devient ainsi rouge bonbon ou rose bonbon. , J’explique une situation qui n’est pas rose et sans l’idée de Chawki : Cela veut dire : Qu’il n’y a point d’amour ! Mais qui n’est point aussi à dire qu’il y’a de l’effervescence : Comme ça avec le rose d’une situation en effervescence et selon Chawki, çà veut dire ‘’ Ça pousse et les troubles avancent mais à pas de fourmis ’’ A partir de là, j’ai bien compris que le rose à Chawki : Est une couleur séditieuse et conflictuelle et qui ne reflète en aucun cas l’Amour. Ni l’amour propre ni l’amour d’autrui – A ce que croit Chawki, je rajoute que la couleur rose dans un situation fait apparaître l’envie d’une jeunesse à quémander autant de sucreries (Pas de dragée haute mais de la dragée rose). ça, on le comprend ces émeutiers impressionnants à l’avis de Chawki , déchaînés et tout en rose sont devenus ambivalents pour donner lieu à des interrogations sur leurs identités, leurs s apparences et surtout quel genre de mecs sont –ils ? Pourtant, la terre de l’Ouest Algérienne pas du tout égoïste leur offre plus de couleur du rosé (Pelure d’oignon) à les faire conditionner fortement en tant que dégustateurs. Ouf … J’ai bien saisi les choses et j’ai compris enfin que le rose de Chawki - C’est un rose sourd et muet bien sûr … C’est un rose trop foncé et moins enfoncé à prouver qu’il y’a foyer de feu dans la maison du Nain d’Icosium (Bouteflika). Pourtant, il n’y ‘a pas de panique grande car ce feu semblable aux étincelles d’une allumette couleur rose, fragile et éphémère ne pourra jamais incendier la bâtisse de Bouteflika. Enfin, c’est une tour infernale, imprenable et sera reconquise sûrement pour la 3°fois par Bouteflika lui-même à en couler une vie en rose. Jamais deux sans trois pour Monsieur le Président.
Alors là, Chawki vient de perdre une occasion de se taire. De toute façon ce gars là est un entêté. Il est pratiquement borné et nul, ne s’intéresse à lui et il n’à aucun niveau pour se faire distinguer dans une chronique. C’est un petit ramasseur de mots, un dégénéré toujours occupé à massacrer les mots et à s’agonir d’insolence. Je commence à le connaître à travers ces écrits à bambins. Allez courage Chawki, continue à pêter si fort ! Il ne te manque plus que deux années, soit en 2010 pour concurrencer Lalam ». A titre d’information, ce gars là ; Il m’énerve : Journaliste mal appliqué, style mineur qui enregistre bien et régurgite de façon imprécise. .Enfin, chacun son tour. C’est la vie).Mais, moi, j’aime relever les défis. Ça fait trois années que je pratique ce jeu du cadavre exquis et j’en ai vraiment maté le plus coriace : Hakim Lalam à qui je conseille d’apprendre la politesse, savoir se taire, bien écouter avant de publier ses billets trop exagérés ! D’accord, je ne lui fais pas une greffe de cerveau mais avec mes réponses, de la patience et de ma grande volonté d’écrire sans m’arrêter. Peut être j’ai pu faire rentrer quelque chose dans sa petite tête. Oublions Hakim et revenons à pas de course vers Chawki trop choqué à me comprendre. . Quand je dis Chawki – C’est déjà un début d’hilarité. C’est vrai, j’attaquais d’entrée : Mais qu’est-ce qu’il m’a fait ce mec là pour le sermonner avec autant d’agressivité ! Ce n’est pas possible. Zut ! Qu’est-ce que j’ai dis ! Mon irritation retombe comme un soufflet. Puisque ce gars là (Chawki) nous amuse tellement lorsque je découvris qu’il part toujours à zéro (sans points ni bon points) et condamné à ne jamais manquer un complément d’information pour en faire son billet plutôt ce qu’il appelait lui-même ses maigres commissions de mots à ranger péniblement. Cette sale besogne l’empêchait vraiment de dormir pendant nuits pour se lancer dans un défi : En connaître autant sur les évènements de l’existence De l’Algérie qu’il en sait sur les travers de sa propre famille – Chose aisée, il est vrai que ce que je dis est juste, quand après avoir suivi de plus prés Chawki à travers ses nombreux billets vus et mal compris, je me suis aperçu que ce dernier ménage ses billets en fonction des dires entendus. Oui, ce qu’il a entendu, il réécris avec un certaine fierté en arguant que son savoir fait est grâce à son flair, sa escobarderie à prendre tout le monde en filature. De guerre lasse, ces jours ci ses pérégrinations interminables l’ont conduis à Tiaret d’où il ressort une bible sous les bras. C’est possible que ce mec là n’a aucune tare cachée ? Son jugement vis-à-vis de Habiba et à force de la côtoyer même virtuellement ; çà fini par se ressembler pensivement.- Enfin, que voulez-vous, il faut bien que jeunesse se passe. Ce n’est pourtant pas faute de l’avoir mis en garde de cette Habiba à laquelle on lui a déjà inculqué de bons principes chrétiens, - Mais, comme il est déjà dit, les chats ne font pas des chiens,Ah ! J’ai visé juste. Chawki a l’air si fragile qu’il éprouve à son égard un sentiment proche de la pitié. Le temps passe, Habiba est persécutée par la police, Chawki ne l’a pas oublié. Il dénonce cet état de fait et souhaite la rencontrer. Lorsque par bonheur il la rencontre, il tente de l’encourager. Et ne rien qu’à penser aux sévices qu’elle endurerait alors, il sent monter en elle une angoisse qui la laisse anéantie - Eh ! Bien, on peut dire que Habiba lui a tapé dans l’œil à celui-là. Je ne l’ai jamais vu dans cet état. Pas du style à plaisanter pourtant. « Chawki le grand supporter du dialogue des civilisations ! ». Un beau titre ! Défend avec bec et ongles cette pécheresse au visage d’ange selon lui .Chawki est habité par cet amour qui le ronge, il va même jusqu’à suivre Habiba dans une église. Oui, une église et pourquoi pas ? Il souffre, habité par une passion qu’il ne peut plus contrôler.
il sent monter en lui de terribles nausées.
J’ai bien lu l’article ‘’ Feuille de route ‘’ écrit par Chawki. Franchement à la fin de ma lecture, je tremble et je me sens mal mais j'essaye de me soulager en y donnant un point de vue. Je n'ai qu'une seule idée en tête ‘’ Envoyer une petite missive à Chawki ‘’. Une fois terminée ma réponse, cela me suffit largement. J'ai bien peur de lui faire du mal, par inadvertance. J'ai peur qu'un jour ou l'autre que ce crétin me dérange. Pourtant, je crève de lui dire : Mon cher Chawki, rien ne va plus pour ce que tu écris ‘’. Personne n’en a besoin. Je veux vraiment humilier ce mec là. Je n'en veux rien d’autre. Je ne connais personne aussi indésirable que lui et bien sûr sauf … Hakim Lalam. Malgré que je ne sois pas journaliste et j’ y utilise ce modeste blog pour contrecarrer les idées que je qualifie de ‘’ sinistres ‘’ de ces journalistes à la con – À la con : ça me plait de dire à la con pour mieux qualifier ces cons . Peu importe ce que je dis mais je sais une chose je me vois seul parmi ces journalistes à la con. Des journalistes insouciants concernant leur propre avenir. Oui, stipendiés à faire une sale besogne, ils sont toujours promis à un avenir sans suite et leur mentalité haineuse n’a de cesse de régresser dans cette jungle d’articles déréglés , du mensonge , de la publicité séditieuse et surtout les attaques répétés contre la République elle-même . Çà, ils ne le savent pas qu’ils ne parviendront jamais à faire comprendre leur lectorat par autant de balivernes infantiles étalées quotidiennement sur leurs sales rubriques. Enfin, malgré l’enfantine simplicité dont ils sont fais. Ces couillons du stylo gras et qui errent d’un endroit à un autre, ne croisent que des regards haineux pour leurs rubriques agitatrices et trop bruyantes – Eh bien , ces rubriques idiotes où je rencontre à chaque jour la flotte des futilités habituelles et des racontars insignifiants . Qu’avez-vous retenu de l’article ‘’ Feuille de route ‘’ l’auteur ou le pauvre Chawki choqué, relate de façon irréelle le comportement journalier de Monsieur le Président de la République – Chose que je trouve d’un ridicule inachevé en plus le sujet abordé, est trop décrié par les lettrés . C’est plutôt vide de sens. Nous méritons mieux …
Quand Chawki parle de la société civile Arabe : " je suis contre son idée, idée bizarre ", cela m'énerve, mais une fois cet énervement passé, je demande le pourquoi de ce sujet qui lui est pratiquement étranger et dépasse toutes ces compétences de conteur de contes à dormir debout . Et là, commence alors mon débat. Je ne doute pas de la désorganisation totale au niveau de la société Arabe en général. Donc, pour en parler de tout ça, je dois me présenter juste comme un citoyen Arabe parce que je suis Arabe et fier de l’être malgré l’énormité des insuffisances. Par ailleurs, j’avoue que la société Arabe vit dans l’étouffement, dans l’atrocité et surtout marginalisée …. En quoi ça dérange vraiment, cette vie Arabe qui ne date pas d’hier ? On le sait déjà et depuis fort longtemps que le peuple Arabe, illettré ne peut confondre sa vie de nomade libéré à sillonner sur le dos de son âne toutes les contrées du sol Arabe et une démocratie qui ne connaît que par la voie de son errance. Il est libre d’errer le peuple Arabe et ne s’en soucie point de notre gouvernance qui ne tolère jamais le droit à l’alternance. Que veut dire alternance ? Le peuple Arabe, comprend que l’alternance est une sorte de démocratie évidement qui lui échappe et galope comme lui à bride abattue sans s’arrêter. Oui, elle ne peut pas s’arrêter tout comme lui le nomade infatigable … Le Nomade qui pense que le foin rare et l’orge si coûteux. Alors là, quelle est la différence entre la démocratie et l’alternance pour le peuple Arabe ? A ma connaissance, ce sont deux (02) intrigues contiguës mais discordantes où je comprends que le plus fort n’est jamais décrié par nous autres Arabes trop frileux. Pire encore, celui qui gère un pays dans la nation dés son départ par le droit de jouissance éternel, s’offre le luxe d’être remplacé par un tiers mais appartenant à sa caste suprême – Un père partant colle un fils brûlant pour garantir sa routine d’antan - C’est la règle du droit de l’héritage présomptif. Pourtant, la situation évolue de façon normale et même au risque de la normalisée. C’est tout a fait acceptable ! C’est aussi le programme du renouveau gouvernemental dans le monde Arabe, administré sans grande explication pour régler la question pour de bon et bannir à tout jamais ces horribles idées démocratiques de l’alternance. Et puis, l’alternance même au mode de la formation est une expérience professionnelle valorisante... l'alternance séduit aujourd'hui de très nombreux jeunes et pourquoi pas ceux qui voient leurs pères et compères gouvernants. Ainsi, la paix est garantie sans se plier aux exigences de ces populaces Arabes, illettrées et qui moralisent avec respect la règle suivante : Le gourdin constitue le sixième principe de la religion musulmane. C’est bien interprété, n’est ce pas ! Sixième principe. Il n’est bon qu'à démotiver ces populaces moins performants comme moins doués à comprendre que ce rouage de satrape est une démarche sacrée, longue et moins complexe à les faire comprendre que le premier arrivé au plus haut de la pyramide devra rester longtemps . Seule, la mort le fera descendre. Enfin, avant que celle-ci le prend dans ses bras pour un départ sans retour et afin d’éviter de perdre du temps inutilement avant le départ définitif. Forcément et appliquant à la lettre la règle de ‘’ Le droit de l’héritage présomptif ‘’. Il placera ainsi celui qui est choisi par lui même pour le remplacera. Ça s’appelle ‘’ l’alternance familiale respectée ‘’ C’est une règle stricte, c’est la plus pratique et la plus symbolique de la gouvernance en Arabie avec en prime des gouvernants aux fonctions séculaires même. Là, je m’arrête et je dis que c’est l’explication la plus simple. Pourquoi Chawki s’est il aventurer à nous relater le moins significatif à comparer la nation Arabe au peuple Polonais, celui de la Tchécoslovaquie et le triomphe de certains mouvements de société civile, capable de faire échoir les Etats totalitaires. Oh ! Non, les Etats de l’Arabie ne sont pas totalitaires au contraire totalement géré avec une totale suprématie sur la totalité de leurs domaines. Donc, totalitaire est moins influent que géré en totalité la totalité des droits totalement acquis par le droit de l’Héritage présomptif qui exclut le droit à la totalité et qui autorise une minorité à s’en accaparer de la totalité des droits totalement amputés et en totalité à toutes ces Arabes .
Il est bien dit : Le monde est plein d'erreurs ; mais de là je conclus Que prêcher la raison n'est qu'une erreur de plus... Et hakim n’a pas trop compris ? ...
H'winta : A mon avis c’est en quelque sorte une déclamation de détresse si j’ose dire ou peut être un récit écris en vers et qui aurait mieux servi à être chanté avec chœur : H'winta! H'winta! H'winta! Ou bel vot yah boutiflika k'witna ! Ma foi, j’en suis point persuadé de ce que veut dire : H’winta ! Sûrement une réclame à ne faire enfoncer que ceux qui apprêtent leurs lieux sans bail de location. Pauvre H’wantia ! Il est bien dit : Boutique achalandée : Encaisser sans regarder - Boui-boui à écriteau mal ajusté ‘’ mévente persiste ‘’ : A louer pour un exorciste –candidat ou bande à bendir, gheita, figurines et autant d’affiches placardées sur les murs. Eh oui, des taudis – siége à 12 000 DA pour un mois sans plus à faire attabler des militants multi - secours ou passe partout. Ça, je le sais depuis fort longtemps lorsqu’on votait dans des cartons. Mais ‘’ H’winta – intox ‘’ ne peut être attaché à un grelot pour ébruiter des galetas mis à l’encan pour le besoin et sans conviction aucune. Peu importe, le cachet du locataire, car l’opportuniste peut siéger même dans une bauge de sanglier ou celle de la laie (femelle du sanglier ) pour réciter ces lais et virelais. Tout ça (scrutin, révision de la constitution, économie de bazar, réserves de change , pétrole , banques , partis etc. …) ne sont point imputables aux H’wanti – courtiers de chaque échéance et qui ne menacent point notre intérêt vital : Une démocratie sans ignorance crasse que Hakim et compagnie regardent , immobiles tout comme un voilier encalminé qui attend la brise de mer venant de l’Ouest . Hé, le matraquage de Hakim tout comme celui qui bat le vent avec une trique ne semble pas porter puisque c’est fait … Les troubadours arrivent... Donc, autant de chants, de poèmes et des randonnées pour réciter des rondeaux. Histoire de faire passer le rondeau, car les semis poussent … Boutef veut une spéculation avancée, une variéte selectionnée , un produit de type ‘’ volonté domistiquée ‘’ et des insecticides pour toute vermine pandémique à sa culture au label ‘’ Poussez moi et sans eux ‘’ . C’est fait, il avance et ne recule devant rien, puisqu’il estime que l’équilibre politique et le pouvoir absolu lui permettent de s’impatroniser. En plus les troubadours chantent : On a cultivé 2 fois autant de Topinambours pour mieux chauffer les tambours sans oublier : Jamais deux sans trois ou 203 (C’est le vieux tacot qui roule lentement sur l’autoroute pour ravitailler en peinture le badigeonneur infatigable). Vous voyez ! Boutef veut une ligne droite, dure (bitumée) et bien tracée pas comme celle de Hakim , tordue et dont les situations (pécules) sont déjà détournées. Histoire de pages mal rangées dans un bristol empâté et rejeté … Pour autant de mots grossiers. Pauvre Hakim, il nage toujours dans la même bassine. Les mêmes thèmes depuis une semaine : De l'autoroute et ses bandes à la ligne brisée, du tango égaré au milieu des affiches des candidats dans une H'winta louée à prix plancher, de l'opportunisme des uns circulant sur la Peugeot 406 ‘’ à vendre ‘’ en passant par le grutier et l’urne suspendue pour se heurter au pauvre protecteur des droits de l’homme déjà perdus et avant lui sous les décombres des murs de Constantine ( plan de Constantine où l'Algérie de l’homme indigène ), sont repris sous forme de discours séditieux, discourtois et qui accordent une grande place au khorti , au superflus , au mensonge officiel et aux sentiments tels que la haine, le déshonneur et la lâcheté. Holà ! Elle se fait ainsi la littérature grossière des défauts honteux par Hakim ... Qui n'ont aucune influence sur l'avancée du Nain d'Icosium que tous les Algériens par son prénom '' Abdelaziz '' est sûrment l'être le plus cher que la terre d'Algérie a engendré .
